Issu de la haute bourgeoisie new-yorkaise, Gatsby est étudiant en lettres dans une université du Nord-Est, en partie pour contenter sa mère. S’il n’a pas vraiment de projet d’avenir, il passe du temps à jouer et parier. Pour le grand bonheur de sa mère, il est amoureux d’Ashleigh, une riche héritière venue d’Arizona.
La jeune femme envisage d’interviewer Roland Pollard un cinéaste célèbre à New York. Avec Gatsby elle se rend à Manhattan. Mais la journée ne se déroule pas comme prévu.
J’ai un peu pensé à « Eyes wide shut », mais dans une version diurne, post adolescente, soft et comique !
L’humour de Woody Allen évolue avec le temps, plus décapant, toujours aussi référencé et féroce.
Personne n’est épargné dans « un jour de pluie à New York » sauf peut-être l’Amour lorsqu’il est associé à l’humour.
La ville de New York cette fois filmée sous la pluie offre des belles perspectives, une lumière automnale et de beaux appartements.
Les acteurs sont brillants, avec un bagou fluide et passionné, dont seul Woody Allen a le secret. Timothée Chalamet, à la fois cool et intelligent sait distiller l’ironie. Les autres personnages sont bien croqués.
Le film passe comme un tourbillon que j’aurais souhaité plus long.
Ping : Lunaire et mélancolique (Un jour de pluie à New-York, Woody Allen) – Pamolico : critiques, cinéma et littérature
Bonjour Anne, j’ai bien apprécié ce film surtout pour New-York. On sent que Woody Allen aime sa ville et sait la filmer. Bonne après-midi.
Merci Dasola pour ton passage.