Salam vit à Jérusalem et travaille dans un studio de cinéma à Ramallah. Il est stagiaire puis scénariste d’un soap opera Arabe se déroulant en 1967 : « Tel Aviv on fire ». Tous les jours il franchit un check point jusqu’au moment où une maladresse le fait mener devant Assi, un officier Israélien. Celui-ci comme sa famille, est un fan de la série Arabe. Il entraîne Salam dans un chantage l’obligeant à modifier le scénario au fur et à mesure.
C’est une partie du conflit israélo-palestinien qui se rejoue par la médiation de cette habile métaphore, sous une forme comique, tentant de transcender la situation réelle, avec un final amer mais bien vu toutefois.
La position de Sameh Zoabi n’est pas forcément transparente ni claire, si ce n’est que j’ai ressenti parfois une volonté de pacification par l’humour et la dérision. Les acteurs ont un bon potentiel comique.
J’ai trouvé l’idée du scénario originale.
J’aimerais bien voir ce film . Traiter avec humour le conflit israélo- palestinien me semble une très bonne chose
Oui, l’idée se défend. Bon dimanche.
Bonjour Anne, je suis allée voir le film pour le sujet et pour le fait que c’était a priori une comédie. J’ai trouvé l’ensemble très mou, manquant de rythme. J’ai été déçue et pourtant l’histoire part d’un bon sentiment. Même le hoummous tombe à plat. Bon dimanche.
Bonjour Dasola, merci pour ton passage. Oui l’humour est particulier. Salam m’a fait penser à Gaston Lagaffe, ce n’est pas une franche comédie, c’est plutôt un peu décalé.Très bon dimanche,