Laurent, architecte, est un homme trop placide, il se laisse harceler au travail, sa femme commence à se lasser de son côté indécis. Un jour il est pris d’un mal de dos dont la cause semble être d’ordre psychologique.
Après avoir consulté magnétiseur, médecins, psychologue, il décide de réagir et de ne plus être passif face aux événements.
Le film est très inégal, j’ai bien aimé toutefois certaines scènes : la pseudo dispute entre Laurent sa femme, le revirement de situation sur son lieu de travail, le projet de passerelle qui va voir le jour, l’irruption nocturne de Laurent chez sa fille.
Je n’ai pas trop cru à la romance et j’ai été un peu agacée par toute la partie consacrée aux amis (dentiste et artiste) de Laurent.
De façon générale, j’ai bien aimé le côté doux -pas forcément réaliste- du film, dans un paysage cinématographique où le monde de l’entreprise est d’habitude décrit comme très cruel.
Eric Elmosnino, dont j’apprécie chaque apparition au cinéma incarne parfaitement cet homme fragile et peu sûr de lui, dont la personnalité va s’affirmer.