Arthur Dreyfus, suite à un malentendu, apprend que son meilleur ami, César Montesiho est atteint d’un cancer incurable. Ne parvenant pas à le lui annoncer, il laisse croire que lui-même est malade. Chacun s’extrait de sa routine pour consacrer quelques jours à son ami. S’ils choisissent une attitude hédoniste, chacun entraîne aussi son ami vers des choix plus essentiels.
Le film oscille entre la comédie et le drame, la raison, la légèreté et l’émotion.
J’ai trouvé l’histoire parfois incohérente (pourquoi César ne consulte-t-il pas le médecin indien au final ? Pourquoi aucun symptôme, si proche de la fin ?) et manquant de profondeur et parfois de finesse. Seule l’attitude de Randa rappelle réellement de quoi il s’agit.
Malgré tout, j’ai passé 2 heures intéressantes, grâce essentiellement à Fabrice Luchini.